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Gil Graff

7 août 2014

http://unlivresurmeslevres.blogspot.fr/2014/08/personne-ne-parlera-de-nous-lorsque.html

une bien belle critique, je me dis " comme elle parle bien de mon histoire".  Du coup, je n'ajoute rien et je vous invite à aller lire sur le blog " un livre sur mes lèvres" ce que je suis incapable de faire : parler de mon livre :-).

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31 mai 2014

Plus que le plaisir avouable de lire des compliments, le sentiment de se sentir comprise :-)

15 mai 2014

une bien belle et fine analyse du livre tirée d'un blog joliment nommé " un livre sur mes lèvres"

3 avril 2014

Pourquoi et comment est né" Catalan Psycho" la réponse....

Ctalan Psycho, la genèse c'est ici http://www.cotepo.fr/la-virgule-flottante-de-gil-graff/

2 avril 2014

Personne ne parlera de nous lorsque nous serons morts

Personne-mort-vign

En 1938 le jeune et insouciant Rémo Valdi débarque à Perpignan. C’est un mondain oisif qui pourrait se satis- faire d’être un bellâtre. Il croise le chemin de Maria Juan une aide-soignante anticonformiste qui aspire à toutes les libertés : citoyenne, sexuelle et intellectuelle. Leur improbable association durera plus de soixante ans.
Et puis il y a Victor, Consuelo, Rose, Pierre, Mathilde... et tant d’autres. Tous ces invisibles qui font une histoire dans l’Histoire : la guerre d’Espagne : la Retirada, les inondations (l’aïguat de 1940), les camps... les élections de 2002.
On savait Gil Graff un brillant auteur de romans noirs « Chronodrome », « Céret Noir »... à l’humour parfois baroque « Catalan Psycho ». On découvre avec « Personne ne parlera de nous lorsque nous serons morts » une nouvelle facette de la romancière. Cette fois elle nous livre une saga tour à tour bouleversante et enthousiasmante, une épopée où, de 1938 à 2002, l’histoire du siècle et celle des anonymes se confondent. La puissance de certaines pages en fait d’exceptionnels morceaux de bravoure et, une nouvelle fois, l’humanisme profond de Gil Graff et son réalisme désabusé se conjuguent à merveille.

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2 avril 2014

L'avant "Concerto pour l'abattoir", Chronodrome " Réquiem...

Chronodrome-Requiem-pour-une-racaille-vign
Extrait de la préface de Jérôme Leroy:

Chronodrome que l'on vous présente aujourd'hui n'a pas franchement l'imaginaire bien range. Il est le reflet de la vision tour à tour libertaire, cruelle, inquiète, drôle et senseuelle de l'auteur.

Gil Graff, dans Chronodrome plus qu'ailleurs, c'est Claudine égarée dans un Disneyland préfasciste... (...) Que l'on se souvienne d'un père fondateur, Edgar Poe, qui savait écrire des nouvelles qui fondèrent le genre policier, le genre noir, le fantastique, l'horreur, le roman d'aventure et même la science-fiction, avec les Aventures d'Arthur Gordon Pym. Gil Graff est l'héritière de cette liberté-là, oubliée aujour'hui.

25 mars 2014

Puisque que les gens meurent…

 

Dernièrement les petites lumières ont brillé au-dessus des réfrigérateurs (ceux qui connaissent Rémo Valdi, comprendront).

J’espère qu’ils ont trouvé un truc sympa après la vie. Je me demande à quoi leur aura servi d’aimer lire, d’aimer les gens, d’aimer la vie.

Bonne route Sylvio…

Michel, toi, tu es certainement déjà loin…

A+ les gars.

31 janvier 2014

La chronique de Bernard Revel de La Semaine du Roussillon...(le surlignage était destiné aux librairies).

24 janvier 2014

Je cause dans l'émission littérare de Stéphanie Jaeger "La Virgule Flottante..."

 Une interview sympa avec Stéphanie Jaeger pour son émission littéraire la virgule flottante  http://www.cotepo.fr/?p=1086 

Je n'aime déjà pas me voir en photo alors quand en plus c'est filmé :-)

Je ne sais pas si cela pourra donner envie de me lire mais c'est bien moi avec mes tics et mes petites manies. Il parait que je ne parle pas assez fort... Je me demande surtout si je ne devrais pas investir dans un mini lifting :-(

13 décembre 2013

Une belle douche écossaise lors de la mise en place de « PNPDNLNSM » dans une librairie.

J’accompagne donc Philippe Salus pour la mise en place en librairie de « Personne ne parlera de nous lorsque nous serons morts ». Il fait froid, la nuit tombe mais les vitrines sont illuminées et décorées. Je chasse le petit coup de blues que me flanque cette ambiance noëlique. Je suis tellement inconnue que les libraires en me voyant avec un éditeur me prennent certainement pour une vieille stagiaire voire un emploi aidé. Bon j’exagère un peu, il y a eu ma photo sur certaines quatrièmes de couv. Mais, même, le temps est passé et je ne ressemble plus trop à la photo en noir et blanc qui floutait rides et ridules, en plus je porte mes lunettes et puis je suis mal coiffée et fatiguée. Voué : j’ai vieilli, muri. Et je vais me prendre 10 ans dans la tronche dans les minutes qui vont suivre.

Philippe Salus fait donc l’article sur ses nouveautés Mare Nostrum, puis il passe à Ultima Necat, le libraire est très intéressé pour refaire le plein de «  Herbes magiques et petites formules » publié par la maison d’édition balbutiante qui a bien démarré l’année dernière avec l’ouvrage de Joan Tocabens. Bon, Philippe sort enfin MON livre :

-          Et ce titre qui vient de paraître qui est le dernier Gil Graff…

-          Eh ! Super ! un nouveau Gil Graff ! répond le libraire en s’emparant du volume.

Je ne moufte pas, mais bah oui, j’ai un petit chatouillis au cœur. Finalement c’est chouette l’ambiance de Noël.

Le libraire tourne et retourne le livre, admire la couverture, si, il l’admire même si j’ai su que quelqu’un a dit qu’elle était à chier  (il y a des jaloux partout, c’est la vie). Il lit la quatrième jusqu’au bout, remarque la pertinence du bandeau.

-          Ce n’est pas un roman noir, remarque-t-il, mais en général, Gil Graff, ça envoie du bois. Je me souviens Catalan Psycho…

-          C’est pas le même genre du tout, l’interrompt Salus,  c’est un  roman qui retrace la vie de deux individus, tout est vrai historiquement mais évidemment romancé, mais certes, c'est du Gil Graff…

-          Ha ! Mais moi, j’aime beaucoup Gil Graff hein ! affirme le libraire. Oui, Gil Graff, ça c’est de l’écriture, ça ne laisse pas indifférent, c’est imagé, du style qui a de la tripe, on sent la solide technique narrative, cet humour noir, cette violence parfois.

 Je regrette presque d’être moche à mon désavantage aujourd’hui. J’aurais pu dire « c’est moi »et minauder un peu. Si !  Je sais minauder, enfin je crois que je saurais…               

-          Donc… Je vais PAS en prendre beaucoup parce que, du Gil Graff ça se vend PAS très bien…      C’est pas comme xxxxxxx et xxxxxxx qui elles ont leur public. Gil Graff…. C’est pas du tout public, faut bien le dire.

Bon, il en a pris quelques-uns, pour voir.  

On est ressorti sur le trottoir. On a marché un moment côte à côte en silence, je me concentrais sur le ronronnement de la valise à roulette, des exemplaires de mon bouquin bringuebalaient à l’intérieur.   

-          En même temps, c’était aussi un compliment, a fini par dire Philippe…

           No Comment...

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